Descriptif
L'année 2012 n'aura pas été l'année de la fin du monde, mais l'année de la Révélation (véritable traduction du terme grec « Apocalypse ), c'est-à-dire le moment où nous cessons d'être des moutons, et où nous nous posons enfin les questions de simple bon sens, que nous aurions dû nous poser depuis longtemps. Pourquoi nous avoir caché la multiplication étonnante des cas de maladies, après les vaccinations de masse dans le monde entier : multiplication par 6 des cas de variole aux Philippines en 1918 après la vaccination contre la variole, multiplication par 2 des cas de diphtérie en France après le vaccin anti-diphtérique, ou par 7 en Allemagne en 1935 pour le même vaccin, multiplication par 4 des cas de polio en France en 1956/1957 après la vaccination anti-polio, etc. Plus récemment, pourquoi une étude réalisée en Californie en 2010, montre-t-elle que 92 % des enfants atteints de coqueluche étaient vaccinés ? Pourquoi nous a-t-on caché le fait que des milliers de malades neurologiques graves (dont certains sont décédés) avaient pour point commun le fait d'avoir été vaccinés contre l'hépatite B ? Pourquoi 13 pensionnaires d'une maison de retraite de Lorraine, vaccinées contre la grippe, sont-elles mortes de la grippe en hiver 2005 ? Pourquoi l'autisme (dont le nombre de cas s'est multiplié par 10 en 5 ans aux U.S.A.) ne touche-t-il pas les enfants non vaccinés (ex. les Amish) ? Pourquoi nos brillants experts sont-ils dans le déni systématique du lien de causalité entre les vaccins et les graves handicaps atteignant aujourd'hui de nombreuses personnes qui étaient en bonne santé avant la vaccination ? On nous aurait menti ? Mais pourquoi ? Et alors que faire pour nos enfants risquant des effets secondaires graves, uniquement car « c'est obligatoire ? Comment la Justice réagit-elle à cette situation ? Cette obligation, qui n'existe plus depuis longtemps chez nos voisins, ne serait-elle pas contraire au droit Européen, comme l'a laissé entendre récemment la Cour de Strasbourg ? Les vaccins ne sont en effet plus obligatoires que dans 5 pays sur les 27 que compte l'Europe.